« En tant qu’exilé je n’ai pas de passeport, je ne peux pas voyager, mais j’y parviens tout de même dans ma chambre. Elle donne d’un côté sur l’Euphrate et de l’autre sur la Seine. Mon costume syrien garde encore le pépiement des oiseaux de Damas. Je les écoute, ils sont toujours là, partout, et (…)
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Journal des africanistes
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