L’amour mort collé sous mes godasses Il boit son café serré je le serre fort dans mes bras, le café la mouture s’émiette je serre encore un peu, le vide, le rien la fin il neige des petits grains noirs à mes pieds c’est dégueulasse, cette crasse cette poussière d’amour mort auquel on n’ose pas (…)
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La marche aux pages